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Radiologie de la maladie

La radiographie de la maladie pulmonaire est le résultat d'une combinaison d'éléments

1) l'examen de la fonction pulmonaire par la mesure de la pression au cours d'un volume de respiration 2) l'évaluation de la qualité de la fonction pulmonaire par le rapport entre la pression et le volume de respiration.

La pression chez l'homme.

La mesure de la pression pulmonaire est une mesure de la pression du liquide qui s'accumule dans les poumons. Elle peut être mesurée en deux endroits : au niveau des reins et dans les poumons. En raison de la présence de deux poumons, deux valeurs de pression peuvent être mesurées : un volume pleural positif (P0) et un volume pleural négatif (P-). La différence entre les deux est appelée différence de pression (Pd). Elle se mesure en centimètres de mercure (cm H2O). Une pression positive est associée à la présence d'eau dans les poumons (pnéo), et une pression négative est associée à une accumulation de liquide dans les poumons (phlébite).

Au repos, la pression dans les poumons est légèrement positive (environ 2 à 3 cm H2O) et diminue de 2 à 3 cm H2O pendant la respiration. C'est la pression positive qui est mesurée et non la pression négative. Lorsque la pression pulmonaire s'élève, le sang passe dans les poumons. Lorsque la pression pulmonaire descend, le sang se renvoie dans les veines. Le sang dans les poumons est en tension, et le sang dans les veines est en relaxation.

La pression est mesurée par un appareil appelé manomètre de pression, qui consiste en une sonde à la forme d'une langue de chevalier et qui est connectée à un tuyau, qui est relié à un réservoir de liquide de remplacement. Au cours de la respiration, le liquide de remplacement est transféré par le manomètre à un réservoir de liquide de remplacement. En règle générale, le liquide est de l'eau, mais dans certains cas, l'air est utilisé.

L'appareil de pression est relié à la sonde à la forme de la langue de chevalier par un tube de cuivre qui est à la fois souple et flexible. Les poumons sont placés à l'aide d'une bande de caoutchouc. Pendant le test, le patient respire à l'aide d'une pompe qui fait du bruit comme une bougie. La pression est mesurée à plusieurs reprises pendant une inspiration et une expiration. La pression à l'expiration est considérée comme la pression de repos. L'augmentation de la pression pulmonaire à l'inspiration est appelée poussée inspiratoire. La diminution de la pression pulmonaire à l'expiration est appelée poussée expiratoire.

L'examen pulmonaire repose sur la mesure de la pression à l'expiration. La mesure de la pression pulmonaire peut être faite en utilisant la pression à l'expiration en position couchée, debout ou en position assise. La mesure de la pression pulmonaire en position couchée se fait en posant le patient sur le dos sur la table et en le faisant resplendir pendant quelques secondes. La mesure de la pression pulmonaire en position assise se fait en faisant le patient rester sur une chaise avec le ventre au plancher. La mesure de la pression pulmonaire en position debout se fait en faisant le patient se tenir debout. Les mesures de la pression pulmonaire en position couchée, debout et assise sont réalisées à l'aide de manomètres de pression différents.

La pression pulmonaire en position couchée

Pendant l'inspiration, la pression pulmonaire est légèrement positive, alors qu'à l'expiration, la pression pulmonaire devient négative. La différence entre la pression pulmonaire à l'inspiration et à l'expiration est appelée poussée inspiratoire. La pression pulmonaire est positive lorsqu'elle est positive à l'inspiration et négative à l'expiration. Le rapport entre la pression pulmonaire à l'expiration et l'inspiration est appelé rapport de pression pulmonaire.

En raison de la variation des niveaux de pression pulmonaire entre l'inspiration et l'expiration, la mesure de la pression pulmonaire est faite en prenant la pression pulmonaire à l'expiration. La mesure de la pression pulmonaire en position couchée permet de comparer les résultats des tests effectués en position couchée, debout et assise. L'une de ces mesures est utilisée pour déterminer si une personne a une maladie pulmonaire obstructive ou une broncho-pneumopathie.

Il est important de noter que le nombre de poumons n'est pas le même dans les deux membres d'un couple. Dans le poumon droit, il y a deux petits lobes. Dans le poumon gauche, il y a deux gros lobes. Une mesure de pression pulmonaire est effectuée à l'aide d'un manomètre de pression à la même extrémité du poumon droit et de l'autre extrémité du poumon gauche. Si les poumons ont le même volume pleural, la différence de pression entre les deux poumons est la même. Si les poumons ont un volume pleural différent, la différence de pression entre les deux poumons est différente.

La pression pulmonaire en position assise

Dans le cas d'une maladie pulmonaire obstructive, le poumon gauche a un volume pleural inférieur au poumon droit. Par conséquent, la pression pulmonaire du poumon gauche est plus négative que la pression pulmonaire du poumon droit. Cette différence de pression est appelée différence de pression pulmonaire. Cette différence de pression pulmonaire a été utilisée pour mesurer le degré de l'obstruction des poumons. Lorsque l'obstruction est légère, il existe une différence de pression pulmonaire entre les poumons de 10 à 12 cm H2O. Lorsque l'obstruction est sévère, la différence de pression pulmonaire entre les poumons peut être supérieure à 12 cm H2O.

Dans le cas d'une broncho-pneumopathie, la différence de pression pulmonaire est plus faible que dans le cas d'une maladie pulmonaire obstructive. L'obstruction des poumons se produit généralement à mesure que la maladie progressera.

La pression pulmonaire en position debout

La mesure de la pression pulmonaire en position debout est utilisée pour évaluer les effets de la marche. La pression pulmonaire en position assise peut être différente de la pression pulmonaire en position debout. Dans le cas d'une maladie pulmonaire obstructive, la différence de pression pulmonaire en position assise et en position debout peut atteindre 15 cm H2O. Le rapport de pression pulmonaire en position debout et en position assise est une mesure de la pression pulmonaire qui est positive à l'inspiration et négative à l'expiration. Ce rapport est utilisé pour évaluer le degré d'obstruction des poumons.

La mesure de la pression pulmonaire pendant la respiration

La pression pulmonaire pendant la respiration peut être mesurée par le manomètre de pression. Les résultats de la mesure de la pression pulmonaire sont donnés sous la forme d'une valeur de pression exprimée en centimètres de mercure (cm H2O). Cette valeur de pression est obtenue en prenant le volume pleural positif et le volume pleural négatif et en divisant la différence entre eux par le volume pleural positif. La valeur de pression exprimée en centimètres de mercure est appelée rapport de pression pulmonaire.

Le rapport de pression pulmonaire indique si la pression pulmonaire est plus positive (obstruction) ou moins positive (dépression). La valeur du rapport de pression pulmonaire est de 0,4 à 0,6 lorsque le poumon est non obstructionnel. La valeur du rapport de pression pulmonaire augmente lorsque le poumon est plus obstrué. La valeur du rapport de pression pulmonaire est de 0,8 lorsque le poumon est obstrusé de manière sévère. Un rapport de pression pulmonaire de 0,8 indique qu'un poumon est obstrusé de manière sévère, tandis qu'un rapport de pression pulmonaire de 0,4 indique qu'un poumon est non obstructionnel.

La mesure de la pression pulmonaire pendant la respiration est utile pour évaluer les effets de la marche.

La respiration de l'homme.

La respiration de l'homme se produit en deux phases : inspiration et expiration. Le volume pleural est le volume de la zone aérienne du poumon. Le volume pleural positif est le volume pleural qui est mesuré avant une inspiration. Le volume pleural négatif est le volume pleural qui est mesuré après une inspiration. Le volume pleural positif est utilisé pour évaluer la pression pulmonaire. Le volume pleural négatif est utilisé pour évaluer la pression pulmonaire.

Comment ça marche ?

L'homéopathie est un traitement très ancien qui fait l'objet d'un consensus au sein de la communauté scientifique. En 2010, le Comité scientifique pour l'évaluation des produits de santé et des technologies de santé (CSES) a émis un avis favorable à l'utilisation de l'homéopathie en tant que traitement de première intention pour les troubles gastro-intestinaux légers à modérés.

L'avis du CSES est motivé par deux constatations :

  • l'utilisation de l'homéopathie est plus fréquente que dans la littérature scientifique et la sécurité de ce traitement a été démontrée depuis les années 1960 ;
  • des données scientifiques et méthodologiques solides appuient les indications de l'homéopathie en matière de troubles gastro-intestinaux ;

Cette indication repose sur les symptômes ressentis par le patient :

Une étude scientifique réalisée en 2003 a comparé l'homéopathie et un placebo chez 360 patients souffrant d'un ulcère gastrique ou duodénal. Cette étude a montré que l'homéopathie était significativement moins efficace chez les patients traités par homéopathie que chez les patients traités par placebo. La majorité des patients souffrant d'ulcère gastrique ou duodénal ont continué à prendre des médicaments anti-inflammatoires pendant une période allant de 3 à 18 mois. La plupart des patients ont constaté une amélioration de leur qualité de vie avec l'homéopathie, par rapport aux patients prenant des traitements anti-inflammatoires non stéroïdiens (anti-inflammatoires non stéroïdiens : ibuprofène).

Les traitements homéopathiques sont efficaces en cas de brûlures d'estomac, de ballonnements ou d'indigestion. Ils ne sont pas recommandés en cas de nausées, de vomissements ou de diarrhées et sont contre-indiqués en cas de maladie du foie ou des reins (voir informations complémentaires).

Quels sont les effets indésirables de l'homéopathie ?

Comme pour tout traitement homéopathique, l'utilisation de l'homéopathie peut avoir des effets indésirables chez certains patients. Bien que ces effets indésirables soient souvent transitoires, il convient de noter que certains patients peuvent souffrir de réactions graves, voire de réactions plus sévères qui peuvent mettre en jeu le pronostic vital, en particulier chez les personnes âgées. En cas de symptômes persistants ou inquiétants, il convient de consulter un professionnel de santé.

Le traitement de l'homéopathie comporte un risque de surdosage : une utilisation inappropriée ou mal adaptée peut causer une intoxication médicamenteuse.

Les effets indésirables décrits ci-dessous sont ceux constatés par les patients traités par l'homéopathie :

  • dans les essais cliniques, aucun effet indésirable grave ou fatal n'a été rapporté ;
  • dans la plupart des cas, les patients ne ressentent pas de symptômes de sevrage lors de l'arrêt du traitement ;
  • dans certains cas, une réaction indésirable a été observée en cours de traitement, mais aucun effet indésirable grave n'a été observé. Cependant, la plupart des patients ont noté une amélioration de leur état général après l'arrêt du traitement.

L'homéopathie peut parfois entraîner des réactions indésirables telles que des symptômes de sevrage ou des troubles de l'humeur ou du sommeil. Par conséquent, il est important que les patients prennent leurs médicaments régulièrement et conformément aux indications figurant sur l'ordonnance médicale ;

Une étude comparant l'administration d'une seule dose de 398,375 à 139 784,75 UI par voie orale à une dose unique de 398,375 à 998,125 UI par voie intramusculaire a révélé que la biodisponibilité de l'homéopathie était similaire à celle de l'ibuprofène. Une dose de 998,125 UI par voie intramusculaire a été bien tolérée chez tous les participants, mais une augmentation des effets indésirables a été observée chez un nombre limité de patients.

Le taux de guérison des ulcères gastriques et duodénaux a été plus élevé avec l'homéopathie par rapport aux médicaments anti-inflammatoires non stéroïdiens (voir informations complémentaires

La plupart des patients ayant une réponse favorable au traitement ont poursuivi la prise de leur traitement après l'arrêt de l'homéopathie.

Cette étude a montré que 11 % des patients avaient pris un traitement antibiotique ou un autre traitement à base de corticostéroïde avant le début du traitement avec l'homéopathie ou pendant les 6 premiers mois de celui-ci. En outre, 2 % des patients ayant pris de l'homéopathie pour traiter des symptômes gastro-intestinaux au cours des 6 premiers mois avaient pris un traitement antibiotique pendant au moins 3 mois.

Il est important de signaler aux médecins que des cas de réactions indésirables, y compris des réactions de sevrage, sont survenus chez des patients qui avaient pris de l'homéopathie sans ordonnance médicale pendant plusieurs années.

Des réactions de sevrage ont été observées chez des patients qui avaient arrêté leur traitement de l'homéopathie à la suite de la survenue d'un ulcère gastrique ou duodénal. Il convient de noter que ces cas étaient rares et que le pourcentage de patients ayant pris un traitement anti-inflammatoire non stéroïdien pendant plus de 3 mois était très faible.

Contre-indications

L'homéopathie ne doit jamais être utilisée chez les patients ayant :

  • une maladie du foie ou des reins ;
  • un antécédent familial de maladie du foie ou des reins ;
  • une insuffisance rénale sévère ;
  • une maladie du foie et du rein.

Des réactions indésirables graves ou fatales peuvent survenir en cas d'utilisation de l'homéopathie chez les personnes âgées.

L'homéopathie n'est pas recommandée chez les personnes souffrant d'une affection grave et prolongée qui impose un traitement médical sévère ou nécessitant des soins à domicile. En cas d'affections chroniques qui ne peuvent pas être traitées à domicile ou si d'autres méthodes ne sont pas utilisables en raison de leur durée ou de leur gravité, il est possible de recourir à l'homéopathie.

Les patients ne doivent pas utiliser l'homéopathie en cas d'ulcère gastrique ou duodénal. Dans la mesure du possible, il convient d'éviter le traitement à l'homéopathie chez les patients atteints d'ulcère gastrique ou duodénal.

Dans tous les autres cas, si des effets indésirables graves se produisent, des mesures doivent être prises :

  • éviter l'utilisation de l'homéopathie ;
  • cesser l'utilisation de l'homéopathie ;
  • se rendre chez un médecin en cas de nécessité ;
  • éviter le traitement de l'homéopathie.

Il est important de signaler aux médecins que des cas de réactions de sevrage ont été observés chez des patients qui avaient arrêté leur traitement de l'homéopathie à la suite de l'apparition d'un ulcère gastrique ou duodénal. Il convient de noter que ces cas étaient rares et que le pourcentage de patients ayant pris un traitement antibiotique pendant plus de 3 mois était très faible.

Des réactions de sevrage ont été observées chez des patients qui avaient arrêté leur traitement de l'homéopathie à la suite de l'apparition d'un ulcère gastrique ou duodénal.

L'homéopathie peut être utilisée en cas de grossesse ou d'allaitement :

  • l'utilisation de l'homéopathie chez la femme enceinte et allaitante doit être réalisée en accord avec les recommandations du Comité pour les médicaments à usage humain
  • l'utilisation de l'homéopathie est possible chez les enfants âgés de 12 à 16 ans présentant des troubles gastro-intestinaux légers à modérés. La dose recommandée est d'un gramme de produit par jour, répartie en 3 prises réparties sur la journée. Les enfants âgés de 6 à 12 ans ont besoin de 1,5 gramme de produit par jour. La dose peut être augmentée jusqu'à un maximum de 4 grammes par jour.

Cette posologie est considérée comme adaptée à l'âge, mais il convient de la tenir compte de la dose de médicament qui sera administrée pour chaque dose et du poids corporel.

Précautions d'emploi

Les effets indésirables sont décrits dans la section "contre-indications" de cette notice.